Architecte diplômée en 2013 de la faculté UCL-LOCI (site Bruxelles de la faculté d'architecture, d'ingénierie architecturale et d'urbanisme).
Giulia Marverti a longtemps cumulé deux casquettes. Celle de l’architecte collaboratrice/chef de projet au sein du bureau d’architecture bruxellois « a practice » (ANORAK sprl), où elle menait à bien des projets à la fois publics et privés. Et celle de l'architecte indépendante, autonome et en recherche continue d’expériences et de formations, où elle se plonge dans la concrétude du métier sur des projets privés.
Combiner ces deux dynamiques lui ont permis d'allier indépendance et travail d’équipe. Mais également de se consacrer à des projets qui la passionne tout particulièrement, ceux liés à la petite enfance, l'éducation et les structures en bois.
Son travail se définit par quatre axes principaux : le lieu, la programmation, l'apport de lumière naturelle et le respect des matières existantes.
Dans ce sens, les démolitions d’édifices, l'architecture sans âme et la mise à mal du patrimoine sont de vrais crève-cœurs pour cette jeune architecte passionnée. Pour elle, l’architecture se doit d’être curieuse, tournée vers les techniques de demain, tout en gardant un œil sur le passé.
L'architecte crée une relation de confiance au travers du conseil, de l'encadrement et de l'accompagnement.
Elle envisage ce métier comme un échange où chacun met ses compétences à disposition pour évoluer et penser des projets petits ou grands et toujours ambitieux.
Dotée d'un vrai sens pratique et d'une bonne méthodologie, enrichie par des formations permanentes, elle aime concevoir des projets où la curiosité est titillée, où l’œil est attiré.
Pour elle, l’architecture est avant tout l'outil de résolution et de concrétisation technique, programmatique et spatiale d'un souhait, d'un rêve, d'une idée. L'architecte se met au service de ce projet.